Le centre européen pour les langues vivantes (CEVL) est un organisme
rattaché au Conseil de l’Europe (pas au Conseil européen, ne pas
confondre), ce même Conseil qui est à l’origine du CECRL et de son volume
complémentaire de 2018, enfin disons les quelques personnes qui s’en sont
chargées (cf. Maurer : /Enseignement des langues et construction
européenne/, cf. Maurer et Puren :/ CECR : par ici la sortie !/).
Qu’il se saisisse de la question de l’enseignement des langues pendant la
pandémie est une chose. C’est d’ailleurs ce que font beaucoup d’organismes
ou laboratoires de recherche ces derniers temps. C’est le cas de la propre
APLV qui vient de sortir un numéro sur le sujet et devrait en sortir en
second. C’est également le cas de nombreuses revues de didactique des
langues.
Il faut donc suivre le sujet. Je remercie donc d’avance tous les
enseignant-es d’anglais qui recevront de l’information ou qui participeront
à l’enquête de bien vouloir nous tenir informé-es. En effet, dans le
champ de la recherche, des articles pro-numérique ou pro-hybride circulent
déjà et les voix discordantes peinent à se faire entendre sur les
limites ou les difficultés. Qu’en tirera le CEVL ? That’s the question !
Syndicalement,
M. Rollin
Rappel :
Demande de l’inspection d’anglais de l’académie de Bordeaux :
"Serait-il possible de faire suivre ce lien aux
professeurs d’anglais afin qu’ils participent au sondage ?
www.ecml.at/thefutureoflanguageeducation
L’enquête est ouverte jusqu’au 26 juin, les répondants recevront
un certificat de participation de la part du CELV.